COLLECTION n°14
COLLECTION n°14
20.04 2024 - 1.06 2024
JEAN-LUC NAVETTE
&
RODOLPHE BRESDIN / ANTONY GORMLEY /EUGÈNE LEROY/ ERNESTO NETO
Interior and the collectors, 6 rue Portagnel, Arles (fr)
Preview à l’ouverture du festival du dessin, samedi 20 Avril 15h-21h + Dimanche 21 Avril 11h-16h
Preview during Arles Festival du dessin on Saturday 20 April 3-9pm + Sunday 21 April 11am-4pm
20.04 2024 - 1.06 2024
JEAN-LUC NAVETTE
&
RODOLPHE BRESDIN / ANTONY GORMLEY /EUGÈNE LEROY/ ERNESTO NETO
Interior and the collectors, 6 rue Portagnel, Arles (fr)
JEAN-LUC NAVETTE
&
RODOLPHE BRESDIN / ANTONY GORMLEY /EUGÈNE LEROY/ ERNESTO NETO
Interior and the collectors, 6 rue Portagnel, Arles (fr)
Preview during Arles Festival du dessin on Saturday 20 April 3-9pm + Sunday 21 April 11am-4pm
Interior and the collectors showcases a new exhibition during the Festival du Dessin d'Arles, crossing the work of Jean-Luc Navette with a collection of old and contemporary drawings and prints by Rodolphe Bresdin, Antony Gormley, Eugène Leroy and Ernesto Neto.
Renowned on the tattoo scene for almost 20 years, Jean-Luc Navette now develops his work in a variety of ways, including personal works, illustrations for news magazines, books, concert posters, record sleeves... His singular universe, haunted by stories of fallen love and ghostly figures, draws on iconographic references from a past both near and far. He presents his latest works from his ongoing series, based on a collection of anonymous photographs from the 1950s. Inspired by ectoplasmic spiritistic photography and film noir, his meticulously detailed drawings make these images more complex to view. Each character seems to take on a life of its own as it slips through the cracks of reality.
Confronting his work with an eclectic collection of contemporary and early artists opens up gaps between genres and eras, allowing his portraits to become embodied in a multi-scenario narrative.
Interior and the collectors présente une nouvelle exposition pendant le festival du dessin d’Arles en croisant le travail de Jean-Luc Navette avec une collection de dessins et de gravures d’artistes anciens et contemporains, Rodolphe Bresdin, Antony Gormley, Eugène Leroy et Ernesto Neto.
Renommé dans la scène du tatouage depuis près de 20 ans, Jean-Luc Navette développe désormais son travail de multiples façons, œuvres personnelles, illustrations pour des journaux d’actualités, livres, affiches de concert, pochettes de disque… Son univers singulier hanté par des histoires d’amour déchu et de figures fantomatiques se nourrit de références iconographiques puisées dans un passé à la fois proche et lointain. Il présente les derniers travaux de sa série en cours, réalisée à partir de sa collection de photos d’anonymes des années 50. Inspiré par les photographies spirites ectoplasmiques ou les films noirs, son dessin minutieux à l’extrême complexifie la lecture de ces images. Dédoublements, corps éthériques, glissements, chaque personnage semble prendre vie au fur et à mesure de ce truchement du réel.
Confronter son œuvre à une collection éclectique d’artistes contemporains et anciens permet d’ouvrir des brèches entre les genres et les époques et laisser ces portraits s’incarner dans une narration aux scénarios multiples.
Interior and the collectors showcases a new exhibition during the Festival du Dessin d'Arles, crossing the work of Jean-Luc Navette with a collection of old and contemporary drawings and prints by Rodolphe Bresdin, Antony Gormley, Eugène Leroy and Ernesto Neto.
Renowned on the tattoo scene for almost 20 years, Jean-Luc Navette now develops his work in a variety of ways, including personal works, illustrations for news magazines, books, concert posters, record sleeves... His singular universe, haunted by stories of fallen love and ghostly figures, draws on iconographic references from a past both near and far. He presents his latest works from his ongoing series, based on a collection of anonymous photographs from the 1950s. Inspired by ectoplasmic spiritistic photography and film noir, his meticulously detailed drawings make these images more complex to view. Each character seems to take on a life of its own as it slips through the cracks of reality.
Confronting his work with an eclectic collection of contemporary and early artists opens up gaps between genres and eras, allowing his portraits to become embodied in a multi-scenario narrative.
Renowned on the tattoo scene for almost 20 years, Jean-Luc Navette now develops his work in a variety of ways, including personal works, illustrations for news magazines, books, concert posters, record sleeves... His singular universe, haunted by stories of fallen love and ghostly figures, draws on iconographic references from a past both near and far. He presents his latest works from his ongoing series, based on a collection of anonymous photographs from the 1950s. Inspired by ectoplasmic spiritistic photography and film noir, his meticulously detailed drawings make these images more complex to view. Each character seems to take on a life of its own as it slips through the cracks of reality.
Confronting his work with an eclectic collection of contemporary and early artists opens up gaps between genres and eras, allowing his portraits to become embodied in a multi-scenario narrative.
Interior and the collectors présente une nouvelle exposition pendant le festival du dessin d’Arles en croisant le travail de Jean-Luc Navette avec une collection de dessins et de gravures d’artistes anciens et contemporains, Rodolphe Bresdin, Antony Gormley, Eugène Leroy et Ernesto Neto.
Renommé dans la scène du tatouage depuis près de 20 ans, Jean-Luc Navette développe désormais son travail de multiples façons, œuvres personnelles, illustrations pour des journaux d’actualités, livres, affiches de concert, pochettes de disque… Son univers singulier hanté par des histoires d’amour déchu et de figures fantomatiques se nourrit de références iconographiques puisées dans un passé à la fois proche et lointain. Il présente les derniers travaux de sa série en cours, réalisée à partir de sa collection de photos d’anonymes des années 50. Inspiré par les photographies spirites ectoplasmiques ou les films noirs, son dessin minutieux à l’extrême complexifie la lecture de ces images. Dédoublements, corps éthériques, glissements, chaque personnage semble prendre vie au fur et à mesure de ce truchement du réel.
Confronter son œuvre à une collection éclectique d’artistes contemporains et anciens permet d’ouvrir des brèches entre les genres et les époques et laisser ces portraits s’incarner dans une narration aux scénarios multiples.
Renommé dans la scène du tatouage depuis près de 20 ans, Jean-Luc Navette développe désormais son travail de multiples façons, œuvres personnelles, illustrations pour des journaux d’actualités, livres, affiches de concert, pochettes de disque… Son univers singulier hanté par des histoires d’amour déchu et de figures fantomatiques se nourrit de références iconographiques puisées dans un passé à la fois proche et lointain. Il présente les derniers travaux de sa série en cours, réalisée à partir de sa collection de photos d’anonymes des années 50. Inspiré par les photographies spirites ectoplasmiques ou les films noirs, son dessin minutieux à l’extrême complexifie la lecture de ces images. Dédoublements, corps éthériques, glissements, chaque personnage semble prendre vie au fur et à mesure de ce truchement du réel.
Confronter son œuvre à une collection éclectique d’artistes contemporains et anciens permet d’ouvrir des brèches entre les genres et les époques et laisser ces portraits s’incarner dans une narration aux scénarios multiples.
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